INSTITUT SAINT-JOSEPH -55, Rue G.Boël-7100 La Louvière ..........................

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ISJ LA LOUVIERE

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Pour l'ISJ : le site des anciens, géré par M Jean Waroux
Pour l'ISJ : forum créé par un ancien.
Photos d'Anciens sur Picasa.
Surfez sur une base de données de rhétoriciens belges , on y trouve quelques anciens de l'ISJ
Photos Hotellerie fin des années 70 - début des années 80.Merci à Mr Jean-François Dor !

 



==> Le traditionnel dîner des Anciens de l'ISJ aura lieu ce 15 novembre 2015

Renseignements pratiques et inscription 2015 :

 

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HISTORIQUE DE L'ISJ:

Le 9 juin 1877, Monseigneur Dumont, évêque de Tournai, chargeait l’abbé Guillaume d’étudier la possibilité d’ouvrir dans le Centre un institut où l’on préparerait les jeunes aux carrières commerciales et scientifiques.  Le 16 octobre de la même année était posée la première pierre et, un peu plus tard, le 15 janvier 1880, Monsieur l’abbé Guillaume pouvait envoyer une circulaire annonçant l’ouverture des cours pour le mardi 20 avril.  Outre une section préparatoire, le nouvel institut devait comprendre cinq cours d’études professionnelles comportant l’enseignement  des langues modernes, des sciences commerciales et l’exploitation des mines.

En 1883, l’Institut compte 160 élèves.  Le directorat de Monsieur l’abbé Caudron, de 1884 à 1888, voit l’aménagement de l’externat et la construction de la chapelle inaugurée le 25 juin 1888.

En décembre 1889, a lieu le transfert à La Louvière du pensionnat de Mont-Sur-Marchienne.  En 1895, son directeur, Monsieur l’abbé Wautier, y avait annexé une école d’agriculture, une des mieux équipées du pays. En 1896, est fondée l’école de brasserie et de distillerie, qui prospéra jusqu’en 1914 et la même année l’établissement voit la création d’une école supérieure commerciale et consulaire.  La première année du cycle était établie à La Louvière ; la deuxième à Leipzig d’abord, à Bonn ensuite ; la troisième à Londres.  Pour assurer l’avenir de la nouvelle fondation, on décide, en 1899, de la transférer à Mons.  L’Institut est donc à l’origine de ce qui est devenu en 1969 la F.U.C.A.M.

En janvier 1901, Monsieur l’abbé Buisseret, directeur, doit faire face à un incendie qui ravagea les bâtiments principaux.

La guerre 14-18 amène des fermetures temporaires jusqu’en 1917, époque à laquelle l’ennemi réquisitionne les locaux de l’Institut pour y installer un lazaret de 1453 lits.  Dans cette situation, les cours se poursuivent chez les particuliers.  Cependant la maison doit payer un lourd tribut : 53 anciens, professeurs et élèves, perdent la vie pour la patrie.

En 1930, l’Institut célèbre son 50e anniversaire en même temps que le centenaire de la Belgique indépendante.  C’est à ce moment que l’on proclame que 6000 élèves étaient passés par l’Institut. C’est à ce moment que tout le quartier de l’externat est bâti.  Conférences, congrès, galas dramatiques et musicaux attirent de plus en plus de monde.  En 1937, on compte 800 élèves et 45 professeurs.

Monsieur l’abbé Bracaval prend la place de la direction en 1938.  A son tour de connaître la difficile période de la guerre.  L’externat est occupé, des professeurs et élèves sont arrêtés : 52 disparaîtront.

En 1946, il faut tout remettre en état : les nouvelles cuisines, la plaine des sports, la réparation des locaux de l’externat et de la cour de l’internat.  1952 voit la création de la section féminine d’humanités anciennes dans les locaux de l’Etablissement de la Croix.  En 1954, l’école primaire est mise sur pied.  En 1959, Monsieur le Chanoine Hennuy réalise un vœu maintes fois exprimé par de nombreux parents la création, sur les terrains acquis à l’ancienne firme Nicaise-Delcuve, de l’Institut Technique Saint-Joseph.

En 1967, sous la direction de Monsieur l’abbé Selvais, suite à un déménagement de la Croix, la section féminine débarque à la rue Boël.  Au 1er octobre 1967, toutes sections confondues, l’Institut compte 1115 élèves.  Pour faire face à ce nombre, on décide de la construction d’une grande salle de gymnastique en 1968.

En 1969, s’ouvre la section technique hôtelière qui sortira ses premiers diplômés en 1974.  Aujourd’hui encore, l’école hôtelière forme des professionnels reconnus dans les meilleures maisons du royaume. 

En 1979, l’enseignement de type I remplace progressivement le Traditionnel, offrant aux élèves de nombreuses options.

Septembre 1982, l’Institut Saint-Joseph du Roeulx est repris par notre Pouvoir Organisateur.  C’est à partir de ce moment que le Centre Scolaire devient « Institut Saint-Joseph La Louvière - Le Roeulx ».  Dès cette époque, le premier Degré d’Observation Autonome et l’Institut Technique ouvrent plusieurs options sur le site. 

Ces dernières années, l’Institut, pareil à lui-même, a innové. C’est ainsi qu’une école maternelle a vu le jour en 2002.  Dans le même temps, l’offre d’enseignement s’est accrue par l’ouverture d’une section qualifiante en gestion et comptabilité.  L’Institut est devenu école pilote en entrant dans l’expérimentation du premier degré de base.

Dès l’an prochain, un projet d’enseignement en immersion est prévu.  Celui-ci est vécu comme un atout non négligeable dans l’apprentissage des langues.

L’actuel CES, vaste ensemble de quatre établissements scolaires (l’Ecole maternelle et primaire, le Degré d’Observation Autonome, les Humanités Générales – Ecole Hôtelière et l’Institut Technique), compte près de 2200 élèves et de 300 éducateurs et professeurs répartis dans trois implantations ( 55 rue G. Boël, 23 rue G. Boël à La Louvière et 12 Grand Place à Le Roeulx).  Il veut poursuivre les objectifs généraux du système éducatif et, notamment :

  • développer la personne ;
  • former le citoyen ;
  • former l’acteur de la vie économique ;
  • éveiller à la culture ;
  • favoriser l’émancipation de l’homme.

    La lumière de l’Evangile nous éclaire pour atteindre ces objectifs éducatifs.
    Le projet pédagogique souhaite intégrer l’école et ses acteurs (élèves et enseignants) dans la société. L’école se veut pour les adultes de demain, pour les générations à venir un lieu de savoir et d’héritage, un lieu de sens et un instrument d’insertion.


Façade principale, années 1940-1950?

 

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